Resultats par mot-clé : 'sécurité'


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Cette synthèse méthodique avec méta-analyse montre que, chez les patients atteints d’un diabète de type 2, si un inhibiteur de la DPP-4 est associé à un sulfamidé hypoglycémiant, le risque d’hypoglycémie augmente de 50%. Il faut en tenir compte lorsqu’on ajoute un inhibiteur de la DPP-4 à un traitement par metformine + sulfamidé hypoglycémiant (9) ou à un traitement par sulfamidé hypoglycémiant seul si la metformine ne peut pas être utilisée.

Médicaments et grossesse : un défi sur le plan scientifique et émotionnel

Lemiengre M.

Minerva 2014 Vol 13 numéro 10 pages 118 - 118

Fiabilité des recommandations des Guides de Pratique Clinique (GPC)

Chevalier P.

Minerva 2014 Vol 13 numéro 7 pages 79 - 79

Information de la délégation médicale des firmes et sécurité pour le patient

Chevalier P.

Minerva 2014 Vol 13 numéro 3 pages 27 - 27

Diabète de type 2 mal équilibré : ajouter un inhibiteur de la DPP-4 ?

Chevalier P.

Minerva 2011 Vol 10 numéro 6 pages 73 - 74


Cette nouvelle méta-analyse sur les inhibiteurs de la DPP-4 (gliptines) confirme leur absence de plus-value en efficacité ou en sécurité versus autres antidiabétiques oraux. La pharmacovigilance signale par ailleurs des effets indésirables rares mais graves (pancréatites, cancers du pancréas ou autres cancers).

Les dispositifs médicaux en question

Chevalier P.

Minerva 2010 Vol 9 numéro 7 pages 77 - 77

La duloxétine pour réduire la douleur liée à une fibromyalgie ?

Chevalier P.

Minerva 2009 Vol 8 numéro 2 pages 18 - 19


Cette étude montre une efficacité statistiquement significative de la duloxétine dans le soulagement de la douleur de l’entité clinique fibromyalgie. La pertinence clinique de cet effet favorable versus placebo n’est pas certaine et semble diminuer avec la durée du traitement (évaluation limitée à 6 mois).

Quel schéma insulinique initial pour un diabète de type 2 ?

Van Crombrugge P.

Minerva 2008 Vol 7 numéro 6 pages 88 - 89


Cette étude montre que l’ajout d’analogues insuliniques à la metformine et à une sulfonylurée en cas de contrôle glycémique insuffisant, permet d’obtenir une diminution significative de l’HbA1c. Seule une minorité de patients atteignent les valeurs cibles d’HbA1c (= 6,5%) à un an. Les schémas avec les insulines biphasiques et prandiales donnent des résultats statistiquement supérieurs au schéma insuline basale, mais avec davantage d’hypoglycémies et de prise de poids ; la pertinence clinique de ces résultats reste donc à discuter. Cette étude n’apporte pas d’argument pour modifier les guides de pratique actuels qui recommandent l’administration d’une insuline NPH avant le coucher en cas de contrôle glycémique insuffisant sous antidiabétiques oraux.

Efficacité et sécurité des antidiabétiques oraux pour le diabète de type 2

Goderis G.

Minerva 2008 Vol 7 numéro 6 pages 86 - 87


Cette synthèse montre que des antidiabétiques oraux (ADO) plus anciens (metformine ou sulfamidé hypoglycémiant de 2ème génération) ont un effet semblable ou même supérieur à celui de médicaments plus récents et plus chers (thiazolidinediones, glinides et inhibiteurs de l’alpha-glucosidase). La metformine est le seul ADO à avoir montré un bénéfice en termes de survenue d’événements macrovasculaires.

Editorial: Le sommet de l'iceberg.

Laekeman G.

Minerva 2003 Vol 2 numéro 10 pages 160 - 161