Resultats par mot-clé : 'lévodopa'


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Cette étude randomisée contrôlée pragmatique ouverte multicentrique avec une conception semi-factorielle montre que les IMAO-B en tant que traitement peroral supplémentaire ont un meilleur effet que les ICOMT (seul l'entacapon a été utilisé dans cette étude) sur les fonctions motrices chez les parkinsoniens sous lévodopa. Il convient de noter que les effets indésirables sont souvent beaucoup plus graves avec les IMAO-B qu’avec les ICOMT. La prudence est de rigueur avec les agonistes dopaminergiques et avec les IMAO-B, en particulier chez les personnes âgées.

La lévodopa a-t-elle une influence sur la progression de la maladie de Parkinson ?

Crosiers D.

Minerva 2019 Vol 18 numéro 10 pages 118 - 121


Cette étude randomisée contrôlée, de bonne qualité méthodologique, montre qu’un traitement oral associant lévodopa (100 mg 3x/jour) et carbidopa (25 mg 3x/jour) pendant 80 semaines chez des patients ayant en moyenne 65 ans et présentant une maladie de Parkinson au stade précoce n’a pas d’influence sur la progression de la maladie, mais qu’il contribue à une maîtrise plus rapide des symptômes sans augmentation des effets indésirables.

Maladie de Parkinson : un adjuvant (et lequel) au lévodopa en cas d’épisodes « off » ?

Chevalier P.

Minerva 2011 Vol 10 numéro 10 pages 127 - 128


Cette synthèse méthodique confirme l’efficacité de différentes classes de médicaments (agonistes dopaminergiques, inhibiteurs de la catéchol-O-méthyl transférase et inhibiteurs de la monoamine oxydase de type B) en ajout à la lévodopa chez des sujets présentant une maladie de Parkinson et présentant des troubles moteurs sous lévodopa. Les agonistes dopaminergiques pourraient être plus efficaces mais avec aussi davantage d’effets indésirables (dyskinésie).

Lévodopa pour les jambes sans repos ?

De Jonghe M.

Minerva 2011 Vol 10 numéro 8 pages 95 - 96


Cette étude montre une efficacité à court terme de l’association lévodopa + inhibiteur de dopadécarboxylase pour les patients souffrant du syndrome des jambes sans repos et ayant des répercussions importantes sur le sommeil. Les limites méthodologiques sont cependant trop importantes que pour en faire une recommandation. La sécurité de la prise en charge médicamenteuse doit être mise en balance avec des symptômes parfois très gênants, mais n’entraînant jamais de complication grave.