Resultats par mot-clé : 'naproxène'


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Chez les patients avec une lombalgie aiguë, non traumatique et sans radiculopathie, cette RCT de bonne qualité méthodologique montre que le diazépam associé au naproxène, versus placebo associé au naproxène, n’améliore ni les résultats fonctionnels ni la douleur, ni à 1 semaine, ni à 3 mois.

Les médicaments pour la crise de migraine chez l’enfant et l’adolescent

Chevalier P.

Minerva 2017 Vol 16 numéro 3 pages 57 - 60


Pour le traitement médicamenteux de la crise de migraine chez l’enfant (moins de 12 ans) et l’adolescent (12 à 17 ans), cette synthèse méthodique de bonne qualité souligne l’absence de preuves (faute d’études) du paracétamol, les preuves faibles pour l’ibuprofène, les preuves modérées (nombreuses études sponsorisées) pour l’intérêt des triptans (sumatriptan surtout) mais cet intérêt reste limité en considérant le pourcentage de patients libres de douleur dans les deux heures post traitement.

Cette méta-analyse montre un risque cardiovasculaire accru avec les différents COXIBs et avec le diclofénac, un risque d’insuffisance cardiaque avec tous les AINS (non sélectifs ou COXIBs), un risque de complications gastro-intestinales supérieures moindre avec les COXIBs et avec le diclofénac qu’avec l’ibuprofène ou avec la naproxène.

Prednisolone pour la crise de goutte ?

Poelman T.

Minerva 2009 Vol 8 numéro 8 pages 112 - 113


Cette étude ne montre pas de différence significative en termes d’efficacité et d’effets indésirables entre de la prednisolone orale et du naproxène oral pour le traitement d’une crise de goutte. L’équivalence clinique entre ces deux traitements proposée par les auteurs reste cependant incertaine en raison de choix méthodologiques inappropriés.

Traitement de la migraine liée aux menstruations

Chevalier P. , Crismer A.

Minerva 2009 Vol 8 numéro 4 pages 40 - 41


Cette synthèse méthodique de la littérature ne trouve que peu d’études pour le traitement ou pour la prévention des crises de migraine survenant lors des menstruations. Des méta-analyses ne sont dès lors possibles que pour les triptans. Les conclusions rejoignent les recommandations des guides de pratique les plus récents qui ne reposent cependant que sur le même nombre faible d’études (une par médicament) chez un nombre généralement restreint de patientes.

Risque d’AVC accru : avec les COXIBs ou avec tous les AINS?

Chevalier P.

Minerva 2009 Vol 8 numéro 1 pages 10 - 10