Resultats par mot-clé : 'prélèvement biologique'


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Cette revue systématique avec méta-analyse de qualité correcte mais présentant une hétérogénéité non négligeable confirme la fiabilité importante du prélèvement combiné nasal et gorge. Elle confirme également que les prélèvements nasaux ou salivaires ont une place en tant qu’alternative (sous réserve de l’impact du variant omicron sur la fiabilité des prélèvements nasaux). Enfin, elle écarte le prélèvement pharyngé seul comme option en raison de son manque d’efficacité.

Infection à Chlamydia : écouvillon prélevé par le médecin ou par la femme elle-même ?

Verhoeven V.

Minerva 2013 Vol 12 numéro 10 pages 125 - 126


Les auteurs concluent que, tant chez les femmes asymptomatiques que chez les femmes qui présentent des symptômes d’IST, le frottis vulvo-vaginal est significativement meilleur que le frottis endocervical pour détecter une infection à Chlamydia. En recourant au frottis endocervical plutôt qu’au frottis vulvo-vaginal chez les femmes symptomatiques, on passerait à côté du diagnostic d’infection à Chlamydia dans 9 % des cas, soit dans 1 cas sur 11.