Resultats par auteur


van Driel M.
Vakgroep Huisartsgeneeskunde en Eerstelijnsgezondheidszorg, UGent
22 article(s) - 0 analyse(s) brève(s)

Evaluation de la qualité méthodologique des méta-analyses

Chevalier P. , van Driel M. , Vermeire E.

Minerva 2008 Vol 7 numéro 1 pages 16 - 16

Hétérogénéité dans les synthèses méthodiques et méta-analyses

Chevalier P. , van Driel M. , Vermeire E.

Minerva 2007 Vol 6 numéro 10 pages 160 - 160

Biais de publication : identification et essai de correction

Chevalier P. , van Driel M. , Vermeire E.

Minerva 2007 Vol 6 numéro 9 pages 144 - 144

Editorial: Soleil de Californie sur les conflits d’intérêt

Chevalier P. , De Meyere M. , van Driel M.

Minerva 2007 Vol 6 numéro 5 pages 65 - 65

Hypolipidémiants : différences entre patients diabétiques ou non diabétiques?

Chevalier P. , van Driel M.

Minerva 2007 Vol 6 numéro 3 pages 34 - 36


Cette méta-analyse conclut qu’un traitement hypolipidémiant, principalement par statines, réduit le risque cardio-vasculaire, avec un bénéfice majoré pour les sujets présentant un diabète de type 2. L’indication d’un traitement hypolipidémiant en prévention secondaire ne souffre d’aucune discussion. Ce bénéfice n’est cependant pas prouvé, en valeur absolue, en prévention primaire chez les patients diabétiques et il dépend du risque cardio-vasculaire. Cette étude n’apporte pas de preuve que le choix doive être différent, en prévention primaire, pour les personnes diabétiques. La décision d’administrer une statine devra également tenir compte d’un risque potentiel d’effets indésirables, parfois graves.

Synthèse méthodique et méta-analyse : première approche

Chevalier P. , van Driel M. , Vermeire E.

Minerva 2007 Vol 6 numéro 3 pages 33 - 33

COXIBS, autres AINS et risque athérothrombotique

Chevalier P. , van Driel M.

Minerva 2007 Vol 6 numéro 1 pages 8 - 10


Cette méta-analyse montre que les COXIBS occasionnent un risque accru d’événements cardio-vasculaires sérieux (infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral, décès d’origine cardio-vasculaire) versus placebo (NNN de 357 par an) ou versus naproxène (NNN de 256 par an) mais non versus AINS non spécifiques (à hautes doses) dans leur ensemble. C’est surtout le risque d’infarctus du myocarde qui est augmenté, alors qu’il ne l’est pas avec le naproxène. Cette méta-analyse ne permet pas de déterminer des groupes plus à risque de complication cardio-vasculaire. Il ne faut certes pas oublier le risque gastro-intestinal présent avec tous les AINS.

Les pièges des analyses en sous-groupes

Chevalier P. , van Driel M.

Minerva 2007 Vol 6 numéro 1 pages 1 - 1

Editorial: Observance du placebo, garantie de longévité

Laekeman G. , van Driel M.

Minerva 2006 Vol 5 numéro 10 pages 145 - 145

Traitement de la dyspepsie H. pylori négative

Numans M.E. , van Driel M.

Minerva 2006 Vol 5 numéro 7 pages 98 - 100


Cette étude montre chez des patients présentant des symptômes de dyspepsie, sans exploration gastroscopique préalable, mais avec un test Helicobacter pylori négatif, une diminution des symptômes acquise par un traitement par oméprazole 20 mg/jour ou par ranitidine 150 mg deux fois par jour. Après quatre semaines de traitement, un traitement par oméprazole se montre supérieur à un traitement par ranitidine, mais après six semaines aucune différence n’est plus observée. Pour une large moitié des patients, malgré ce traitement, les plaintes ne sont pas moindres après six mois. L’oméprazole paraît plus efficace chez les patients présentant des plaintes de type reflux. Dans la pratique, un traitement empirique avec un inhibiteur de la sécrétion acide est recommandé chez les patients présentant des plaintes dyspeptiques de type reflux, indépendamment de leur status H. pylori. La réalisation d’un test H. pylori n’est recommandée qu’en cas de persistance des plaintes malgré le traitement. Dans cette étude, un traitement par oméprazole n’est pas, à long terme, d’un meilleur rapport coût/efficacité qu’un traitement par ranitidine. Sur la base de ces données, après un traitement efficace avec de l’oméprazole, un passage «en retour» à la ranitidine peut être envisagé.

Pioglitazone pour le diabète: espoirs déçus

Christiaens T. , van Driel M.

Minerva 2006 Vol 5 numéro 6 pages 86 - 88


Cette étude effectuée chez des patients diabétiques de type 2 présentant un risque cardiovasculaire élevé ne montre pas d’efficacité significative de la pioglitazone pour le critère de jugement primaire prédéfini (mortalité totale et morbidité cardiovasculaire). La conclusion des auteurs repose sur des résultats statistiquement significatifs pour un critère secondaire; cette conclusion n’est cependant pas étayée. Des hospitalisations pour insuffisance cardiaque sont plus fréquentes en cas d’administration de pioglitazone. A ce jour, nous ne connaissons pas la place exacte d’un traitement par pioglitazone en ajout au traitement par régime avec ou sans antidiabétique oral (avec ou sans insuline) chez des patients à haut risque et certainement pas chez des diabétiques «moyens».

Marketing de critères primaires et secondaires

Lemiengre M. , van Driel M.

Minerva 2006 Vol 5 numéro 6 pages 81 - 81

Traitement mécanique ou chimique de la pédiculose du cuir chevelu?

Lapeere H. , van Driel M.

Minerva 2006 Vol 5 numéro 5 pages 74 - 75


Cette étude réalisée chez des enfants, montre qu’un traitement des poux du cuir chevelu à l’aide du «Bug Buster kit», comprenant le peignage de cheveux mouillés, offre un pourcentage de guérison plus élevé comparé à l’application unique d’une solution aqueuse de malathion à 0,5% ou de perméthrine à 1%. Un enfant sur deux n’est cependant pas encore débarrassé de ses poux après deux semaines. Le traitement par peignage de cheveux mouillés n’est pas toxique, n’induit pas de résistance et est bon marché; il exige habileté et discipline de la part des parents qui doivent l’appliquer. D’autres études sont nécessaires pour déterminer la faisabilité et l’acceptabilité de cette méthode en première ligne de soins et en fonction des différents profils de résistance, pour déterminer sa place exacte dans le protocole de traitement des poux du cuir chevelu chez les enfants.

Cette étude, réalisée en médecine générale, montre que le fait de ne pas donner d’antibiotiques ou de donner une prescription différée aux patients présentant de la toux et des plaintes des voies respiratoires inférieures (e.a. fièvre et crachats colorés), mais sans pneumonie ou affection pulmonaire chronique, n’a pas d’influence sur la durée et sur la sévérité des symptômes.

Acide hyaluronique en intra-articulaire dans la gonarthrose

van Driel M.

Minerva 2006 Vol 5 numéro 4 pages 58 - 59


Cette méta-analyse correctement réalisée conclut qu'il n'existe pas de preuves d'une efficacité cliniquement pertinente d'infiltrations intra-articulaires d'acide hyaluronique en comparaison avec le placebo. Minerva avait déjà cité l'absence d'une plus-value nette par rapport aux AINS ainsi que l’absence d’une comparaison avec le paracétamol ou avec un traitement non médicamenteux. Notre conclusion demeure: il n'y a actuellement pas de place pour des préparations à base d'acide hyaluronique dans l'arbre décisionnel du traitement de la gonarthrose.

Editorial: Evaluation de nouveaux médicaments: «supérieurs»,«équivalents» ou «non inférieurs»?

Chevalier P. , van Driel M.

Minerva 2006 Vol 5 numéro 1 pages 1 - 1

Editorial: Une demi-vérité: le récit des coxibs

van Driel M.

Minerva 2003 Vol 2 numéro 9 pages 142 - 143

Coxibs versus paracétamol dans la gonarthrose

van Driel M.

Minerva 2003 Vol 2 numéro 9 pages 144 - 145


Cette étude semble montrer qu’une dose élevée de rofécoxib (25 mg par jour) est plus efficace que du paracétamol (à 4 g par jour). La pertinence de cette différence observée reste cependant peu évidente et doit être confirmée par d’autres études. Les traitements de choix de la gonarthrose restent les exercices thérapeutiques et l’administration de paracétamol. En deuxième choix, un traitement par AINS à la plus petite dose efficace, peut être instauré. Un avantage des coxibs par rapport aux AINS classiques chez des patients arthrosiques en général n’est à ce jour pas suffisamment démontré.

AINS Cox 2 sélectifs: évaluation après cinq ans

Chevalier P. , Janssens I. , van Driel M.

Minerva 2003 Vol 2 numéro 9 pages 148 - 151


Cinq ans après l’introduction des AINS cox-2 sélectifs rofécoxib et célécoxib, les arguments font toujours défaut pour justifier une modification des recommandations pour le traitement de l’arthrose. Le paracétamol et la pratique d’exercices restent les premiers choix. En cas d’efficacité insuffisante, un AINS peut être employé à la dose efficace la plus petite possible garante d’un moindre risque de toxicité. Il n’existe pas de preuves scientifiques suffisantes pour favoriser les AINS cox-2-sélectifs, le risque de toxicité gastro-intestinale sévère n’est pas diminué et la toxicité cardiovasculaire conduit à la prudence. L’utilisation de tout AINS chez les patients présentant une co-morbidité ou prenant d’autres médicaments est à déconseiller. Une utilisation prolongée des AINS doit être de préférence évitée.

Prévention de la maladie thrombo-embolique lors de l'immobilisation d'une jambe

van Driel M.

Minerva 2003 Vol 2 numéro 4 pages 60 - 61


Cette petite étude, présentant des problèmes méthodologiques, montre une réduction du nombre de TVP phlébographiques (principalement distales) grâce à l’administration de réviparine (HBPM) à des patients ayant une jambe immobilisée et présentant un risque léger à modéré de thrombo-embolie. La pertinence clinique et l’analyse coût/efficacité de cette observation est cependant encore loin d’être évidente. D’autres études sont indispensables pour étayer l’intérêt d’un emploi systématique d’HBPM (et d’anticoagulants) en cas d’immobilisation après un traumatisme.

Le M.O.L

Chevalier P. , De Meyere M. , van Driel M.

Minerva 2003 Vol 2 numéro 3 pages 40 - 40

Éditorial: Minerva, pas à pas, de la litérature scientifique à la pratique

van Driel M.

Minerva 2002 Vol 1 numéro 9 pages 18 - 20